bive les bretons有道翻译在线

Vladimir Poutine à l&origine de l&incendie du centre des imp?ts de Morlaix !
| Les moutons enragés
<meta property="og:description" content="[Avec Agence France Propagande] Après plusieurs opérations <> le mouvement des légumiers bretons en colère a incendié le centre des imp?ts et la mutualité agricole de Morlaix, Vendr..." />
& Vladimir Poutine à l&origine de l&incendie du centre des imp?ts de Morlaix !
Vladimir Poutine à l&origine de l&incendie du centre des imp?ts de Morlaix !
Les pompiers bretons tentent d&éteindre l&incendie allumé par le FSB russe en déversant des artichauts&#8230;
[Avec Agence France Propagande]
Après plusieurs opérations <> le mouvement des légumiers bretons en colère a incendié le centre des imp?ts et la mutualité agricole de Morlaix, Vendredi soir. Selon le maire de la ville, Agnès Le Brun (UMP), il s&agirait d&une <>, le mouvement semblant s&être développé en dehors des réseaux syndicaux.
<< C’est une jacquerie, une révolte qui part de la base, complètement déstructurée, hors des relations syndicales. Les syndicats sont dépassés par la base >>, a-t-elle déclaré à l’AFP
Le premier ministre Manuel Valls a immédiatemment réagit en dénon?ant << la main de Moscou >> et la manipulation évidente dont semblent être victimes les agriculteurs bretons, qui sont pour la plupart illettrés.
Le mouvement, qui n&a << rien de spontané >>, selon le ministère de l&intérieur, porte effectivement la marque des services secrets russes.
En effet, selon Agnès Le Brun : <<Ce n’est pas un coup de colère, c’est une colère froide>> et la maire de Morlaix d&ajouter : << c&est quelque chose qui m?rit depuis des semaines, depuis des mois sur une conjonction d’événements: la baisse de la consommation, la surproduction, la baisse des cours, l’embargo russe. >>
Le premier ministre a ainsi dénoncé les << méthodes du FSB russe >> à la manoeuvre, et a souligné : <<
le recours à des méthodes violentes, qui ne résolvent rien et qui pèsent en premier lieu sur les contribuables et les assurés sociaux. >> qui constituent un mode opératoire autodestructeur typiquement slave.
Après l&agression de l&Ukraine par des réseaux de combattants inflitrés, la Russie semble cette fois vouloir déstabiliser le pouvoir politique fran?ais. En cause, son soutien au gouvernement démocratique de Kiev et sa dénonciation de la politique d&agression systématique de la Russie ainsi que son soutien au terrorisme international et à la barbarie.
Le premier ministre a promis << la plus grande fermeté >> et a annoncé que << Des poursuites judiciaires seront engagées contre les auteurs de ces actes. >>
Simple co?ncidence ? La flambée de violence pilotée par Moscou s&est produite quelques heures après l&annonce par le tribunal correctionnel de Rennes de la condamnation de cinq agents russes du mouvement réactionnaire des <> qui avait pris pour cible le dispositif écologiste des portiques <>.
Agence France Propagande
NDA : devant le nombre croissance de lecteurs qui éprouvent des difficultés à faire la différence entre les conneries débitées par les médias et les hommes politiques et les authentiques conneries à visée humoristique, j&attire votre attention sur le fait que cet article est une parodie à but humoristique, les propos relayés ici constituent un procédé comique.
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(街舞战网)Lilou chez les Bretons
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(街舞战网)Lilou chez les Bretons
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京公网安备号
药品服务许可证(京)-经营-Un article de Wikipédia, l&#039;encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir .
&#160;Cet article traite des Bretons sur le continent européen. Voir aussi l’article consacré aux
1er rang&#160;:
2e rang&#160;:
3e rang&#160;:
4e rang&#160;:
Populations significatives par région
3&#160;120&#160;288 (est.) (2007),
1&#160;246&#160;798 (est.) (2007),
hors région Bretagne et Loire-Atlantique
environ 1 million en ?le-de-France,
70 000 au Havre
incertaine
Population totale
incertaine
Régions d’origine
(majorité)
Ethnies liées
(principalement
Les Bretons sont une part et une composante distincte de la population , originaire de , une région située à l'Ouest de la , indépendante jusqu'au , où ils sont principalement implantés. Ils doivent leur nom à des groupes
qui émigrèrent du sud-ouest de la
en vagues successives à partir du
dans l'Ouest de la péninsule , renommée par la suite
d’après leur nom.
Issu de cette , le
(brezhoneg) est parlé en
et compte actuellement environ 365&#160;000 locuteurs, dont environ 240&#160;000 le parlent couramment&#160;; tandis que le
est parlé en . Le breton est apparenté au , dont il est très proche et, dans une moindre mesure, au . Le gallo est quant à lui une
de la famille des , mais possédant quelques similitudes de vocabulaire et de prononciation avec la langue bretonne. Depuis la seconde moitié du , le
s'est imposé comme langue maternelle des Bretons.
et les Bretons sont considérés comme l’une des six . Le nombre factuel de Bretons <> en Bretagne et dans la
entière est difficile à conna?tre étant donné que le
ne fait pas ce type de statistiques. La population de la Bretagne ( et ) est de 4&#160;365&#160;500 selon le recensement de janvier 2007.
Une forte émigration historique a engendré une diaspora bretonne à l'intérieur même des frontières
et dans l'&#160;; celle-ci est principalement établie dans la région parisienne. De nombreuses familles bretonnes ont également émigré sur le continent , principalement au
(surtout au ) et aux .
?tablissements bretons au VIe&#160;siècle.
Articles détaillés&#160;: ,
On nomme Bretons insulaires, les Bretons, qui, avant le VIe&#160;siècle, vivaient dans l'.
? partir du , les Romains font progressivement appel à des contingents de
pour protéger les c?tes
et particulièrement celles de l’ des raids des pirates ,
Au , les , les
et les , des
venus du continent, contraignent les , peuple
de la famille , à s’installer dans l’ouest () et le sud () de l'?le. Mais les Bretons émigrent avant tout pour fuir les raids de , peuple celtique venus d’. Par milliers, des Bretons viennent s'installer en . Cet exode n'est pas massif mais consiste plut?t en une longue série d'infiltrations. L'ouest de l'Armorique prit ultérieurement le nom de
à cause de cette immigration continue.
Cette immigration brittonique a provoqué une re-celtisation de l' qui était peu romanisée à la chute de l'Empire Romain. La population autochtone armoricaine était cousine des arrivants bretons, le breton et le gaulois armoricain qui étaient relativement proches. Les deux populations se connaissaient assez bien pour pratiquer des échanges depuis plusieurs siècles.
Il convient de noter que des petits groupes sont restés et d'autres se sont essaimé dans tout l’ouest de la
et que certains se sont installés jusqu'en actuelle .
? la suite de cela, on rebaptisa donc les Bretons insulaires, Bretons continentaux.
L’installation en
entra?ne la création de nouveaux royaumes&#160;: , ,
(qui s'est étendu de part et d'autre de la
à un moment de son histoire)&#160;; ainsi que de nombreux pays traditionnels et culturels&#160;: , , , , etc. Les relations entre les Bretons et leurs voisins , les nouveaux ma?tres de la , furent conflictuelles durant le haut Moyen ?ge, entre rébellion et relative soumission temporaire.
n'arrivera pas à soumettre l'ouest breton.
Article connexe&#160;:
Signalisation bilingue dans une rue à .
L'existence de deux Bretagnes linguistiquement distinctes est attestée de bonne heure. Au XVe&#160;siècle, la chancellerie pontificale, qui demandait au clergé de parler la langue de ses ouailles, distingue la Brittania gallicana et la Brittannia britonizans, c'est-à-dire la Bretagne
et la Bretagne . La limite est régulière et frappe les observateurs par la netteté de son tra?é&#160;: pour
qui parle de la , <>. Quant à l'historien , il n'hésitait pas en 1845 à qualifier cette frontière de <> de l'idiome breton. Cette limite linguistique a fluctué depuis l' au profit du gallo, puis du fran?ais.et se dessine aujourd'hui comme tel&#160;: elle part à l'ouest de
et au sud de , dans les , elle passe ensuite par , ,
et se termine dans la presqu'?le de , dans le >>
Aujourd'hui, la langue maternelle de la majorité des Bretons est le . D'autre part, aucun des deux parlers traditionnels de Bretagne,
et , n'ont de reconnaissance officielle, mais ils restent encore aujourd'hui utilisés au quotidien par une petite partie des Bretons, en particulier les plus ?gés. Des actions sont mises en place par les
pour la sauvegarde du breton, comme la , surtout présente dans l'Ouest de la péninsule, sous l'impulsion d'organismes tels que l' et . Cette signalisation fran?ais/breton ne va pas sans controverse lorsqu'elle est installée en ,. Depuis les années 1880 jusqu'au milieu du XXe&#160;siècle, la politique scolaire des divers gouvernements fran?ais est considérée par les milieux militants comme ayant conduit à un véritable
de la langue bretonne, en l'interdisant notamment dans les écoles, dans une optique proche de celle du
au . Dans la filiation d'un arrêté
du 12 décembre 1941, autorisant l'enseignement facultatif des "parlers locaux" dans les écoles primaires, la
du 11 janvier 1951, présentée par le député socialiste du
, mais préparée par les députés communistes bretons, autorise l'enseignement du breton ainsi que 3 autres langues (occitan, catalan, basque). Une circulaire du , , en date du 7 avril 1995, inscrit la découverte de la langue et de la culture régionale au programme scolaire. Aujourd'hui, le breton et le gallo sont enseignés dans certains collèges et lycées et des épreuves facultatives sont disponibles au baccalauréat. En 1966, l'usage des prénoms bretons pour les nouveau-nés est autorisé.
Article détaillé&#160;: .
Les différents tons de gris retracent le recul du breton dans les campagnes au profit du , puis du &#160;; la partie blanche n'a jamais été majoritairement bretonnante. La limite entre la
a peu à peu glissé vers l'Ouest au fil des siècles.
? la fin de l’, les , fuyant les invasions de l’, s’ où ils re-celtisent cette partie de la
faiblement romanisée. D'origine
brittonique, le breton peut être rapproché du , ainsi que dans une moindre mesure du , et se classe parmi les . Au
la plupart de la
était bretonnante, à l'exception notable des régions situées autour de
qui ont toujours été de langue romane. Au fil des siècles et ce dès le Moyen ?ge, le breton a reculé vers l'ouest de la péninsule face au
(voir la carte ci-contre). Au , en Basse-Bretagne,
était presqu'entièrement étrangère au breton, les autres villes de Bretagne occidentale étant partiellement francisés. Jusqu'au milieu du , le breton était la langue maternelle de la majorité des habitants de Basse-Bretagne. Aujourd'hui, l' classe le breton, au même titre que le gallo, comme <<&#160;langue sérieusement en danger&#160;>>.
Article détaillé&#160;: .
Les habitants de
parlent traditionnellement le , une , qui présente cependant des éléments d'échanges avec le breton, notamment dans son vocabulaire et sa prononciation.
Article connexe&#160;: .
s'est progressivement imposé comme la langue des Bretons pour plusieurs raisons. ? la suite de la , , ajoute à son domaine les , zone , comprenant notamment
et , qui ne parlèrent jamais breton. L’extension maximale du breton s’étend à l’ouest de ces deux villes. C’est à partir de cette zone romane que le processus de francisation de la Bretagne va démarrer. Rennes va influencer les villes
du Nord-Ouest qui franciseront à leur tour, les campagnes avoisinantes, tandis que
francise les villes bretonnantes du Sud-Ouest. Le recul sera d'ailleurs plus rapide dans le Nord de la Bretagne, de Rennes vers , que dans le Sud, de Nantes vers , car Rennes était un important carrefour de . L’installation de la cour des
en zone romane () facilite la francisation des élites.
Dès la fin du XIIIe&#160;siècle et bien avant l', l'administration ducale abandonna le latin au profit du fran?ais, sans passer par le breton. Jusqu'au XIIIe&#160;siècle, les actes administratifs et juridiques sont rédigés en latin, puis le fran?ais concurrence le latin dans les actes de la chancellerie avant de le remplacer définitivement. L'historien
affirme n'avoir jamais retrouvé, au cours de ses dépouillements d'archives, un quelconque document financier en breton, contrairement à ce que disent d'autres.
Par ailleurs, aucun des derniers ducs de Bretagne ne s'exprima en breton et leurs efforts de centralisation s'appuyèrent exclusivement sur l'utilisation du fran?ais. Ainsi,
() devait-il recourir aux services d'un interprète lorsqu'il devait s'adresser à ses sujets de
. Toute l’attention des ducs de Bretagne est d’ailleurs tournée vers l’ et le
où ils cherchent à étendre leur domaine, plut?t que vers l’Ouest. De sorte qu’au XVIe&#160;siècle, le recul du breton en faveur du gallo et du fran?ais est déjà bien établit le long d’une ligne allant de
Après l', l’Ancien Régime, faisant peu de cas des langues locales, accepta le breton comme il était&#160;: essentiellement une langue vernaculaire et utilisée pour le culte. L'usage du fran?ais, imposé dans les cours de justice et les actes officiels par l’ fut de portée symbolique, car le
avait abandonné le
comme langue administrative plus d’un siècle avant le . Ce recul multiséculaire du breton se poursuivra très progressivement jusqu’au basculement de la
vers le fran?ais dans les années .
Au cours du , la
et l’ joue un r?le important dans la promotion du fran?ais. Durant cette période, les <> sont déconsidérés par la , car per?us comme un signe de
et d' ainsi qu'un facteur d’arriération économique et culturelle. Certains individus se montrent intransigeants avec les langues régionales, tel ce sous-préfet du
qui, en 1845, donna cette consigne aux instituteurs&#160;: <> Ou, en 1897, cet inspecteur d'académie du Finistère qui écrivit à l'intention des enseignants de l'école primaire&#160;: <<Un principe qui ne saurait jamais fléchir&#160;: pas un mot de breton en classe ni dans la cour de récréation. Il faut faire la guerre à ce <>. Mais le service militaire et la politique scolaire n'expliquent pas tout, les bretonnants passèrent petit à petit au fran?ais principalement pour les raisons suivantes&#160;:
l’attrait de la culture fran?aise&#160;;
le discrédit qu'a connu le mouvement breton auprès des Bretons, à la suite de sa collaboration avec l'Allemagne au cours de la Seconde Guerre mondiale&#160;;
l’idée que les opportunités de travail et la
(par ex. pour les emplois administratifs et militaires) passent par la ma?trise du fran?ais&#160;;
le chemin de fer a considérablement augmenté les brassages de population (venue de touristes, exode rural vers les villes)&#160;; avec la généralisation des congés payés, on assiste, notamment en été, au retour des émigrés de deuxième génération (nés hors de Bretagne) qui ne parlent plus breton ou le parlent mal&#160;;
dans le contexte de la mondialisation en tant que brassage des peuples, l’apparition d’une langue dédiée aux échanges tend à faire dispara?tre les langues moins usitées. Ce fait est beaucoup plus récent que les raisons précédentes (il commence après la Seconde Guerre mondiale) mais il accentue le déclin du breton au profit du fran?ais, langue de communication de la République fran?aise avant d’en être la langue constitutionnelle (1992).
Une image dépréciative des bretons se mets en place chez les auteurs
dès le , et correspond à des périodes pendant lesquelles la
est indépendante ou autonome,. La <>, la <>, l'<>, et l'<> supposés des bretons est alors opposé à la <>, au <>, à la <>, et à la <> des fran?ais,.
L'image du
est ainsi reprise par
les décrits comme <>, et lors du même siècle
les décrits comme ayant des moeurs <>,.
Certains traits présentés par des auteurs du moyen-?ge sont repris par la suite. La question de la langue est présente en
chez J. De Laey qui indique qu'<>, ou chez
qu indique la même année que dès que franchi la
Le rapport à la boisson, déjà présente chez des auteurs du moyen-?ge.
peut ainsi écrire que les Bretons <>, et que
peut au même siècle écrire qu'<>.
Dans une étude de
se limitant aux ouvrages littéraires, Catherine Bertho indique que jusqu'à la
<>. Elle ne relève pas la Bretagne comme thème spécifique&#160;; les observations à caractère
n'apparaissent que <> et jamais pour cerner une spécificité bretonne. Elle n'identifie dans les ouvrages antérieurs à 1800, aucun des
qui vont fonder l'identité régionale, comme la
ou le climat pluvieux. Cependant cette analyse est contredite par
Dans la première moitié du , dans le courant du
qui touche l’Europe, une historiographie régionaliste voit le jour&#160;; elle marque son intérêt pour les traditions, les chants, les légendes et les croyances populaires bretonnes. Quelques érudits, qui per?oivent l'importance ethnologique d'un monde rural en profonde mutation, battent la campagne pour compiler les
locales. Citons, par exemple, le
de . La <> s'exprime, en Bretagne, essentiellement au sein d’une noblesse , marginalisée après 1830 par la
et se repliant sur ses terres. ? la nostalgie de l' s'ajoute un esprit conservateur en ce qui concerne la religion, les traditions et les , sans pour autant croire à un retour effectif à l'Ancien Régime. Les traditions sont présentées comme préservant le peuple breton de l’ et des idées nouvelles issues de la .
e&#160;siècle jusqu'en 1914)[ | ]
Le premier Emsav voit l'apparition d'un autonomisme breton qui reste confidentiel. Une première normalisation des
a lieu durant cette période, à l'instigation d'universitaires bretons (, , … ). Ce breton "", rassemblant les dialectes de , du
et du , exclut le dialecte
jugé trop différent.
C'est en 1923 que le
(ici dans sa version de ) est créé par .
Au cours de l'entre deux-guerres, la production artistique se développe autour des
et voit appara?tre le
(1923) et les premiers
(1932), mais les cercles nationalistes peinent à rallier des membres (le premier congrès du
qui s'était tenu à
comptait 25 militants), alors le régionalisme breton se radicalise. En 1932, un groupuscule nationaliste fait exploser le monument commémorant l' à . Autour de
et , le mouvement breton se rapproche de l'idéologie
et du nationalisme ethnique. Durant la , le mouvement autonomiste organisé sombre dans son ensemble dans la
avec l'occupant nazi et/ou avec le . Un certain nombre de militants bretons s'engageront dans les milices de la
ou des , s'attirant ainsi l'hostilité de la population locale. Au-delà de ces groupuscules, les bretons se partagent, comme le reste de la France, entre collaboration, attentisme et résistance. Il faut cependant noter que la population bretonne se distingua par la contribution importante qu'elle fournit à la Résistance intérieure et extérieure fran?aise.
En 1941, une nouvelle orthographe bretonne (KLTG) est créée, comprenant cette fois le dialecte vannetais. Le gouvernement de Vichy se montre conciliant à l'égard des langues régionales&#160;: les premières lois en faveur de l'enseignement de ces langues sont dues au ministre vichyssois . Ces lois, comme l’ensemble des mesures prises par le gouvernement de Vichy, seront abrogées à la Libération.
? la , seuls 15 à 16&#160;% des membres du PNB sont traduits devant les tribunaux pour collaboration. Cependant au sein du mouvement breton, on minimise la collaboration et on crée le mythe de l' sauvage.
Porteur de la
? la suite de la
de la quasi-totalité des mouvements politiques de l'emsav, le militantisme politique est condamné par l'opinion bretonne. L'action militante se fera désormais dans le domaine culturel, notamment au travers de la
par l'actualisation de thèmes musicaux traditionnels et par la création des , dans les années 1950.
Dès décembre 1946, à l’initiative des pouvoirs publics,
lan?ait un nouveau programme d’émissions radiophoniques en langue bretonne sur Radio Quimerc’h. Parallèlement, la , en , permit l’enseignement de quatre langues régionales, dont le
(mais pas le gallo), dans les écoles secondaires. Alors que des mesures viennent favoriser l'enseignement des langues régionales, l'abandon du breton et du gallo (comme des autres langues régionales fran?aises) par les classes populaires s'intensifie dès l'après-guerre. Poussés par un désir d’intégration à la société fran?aise et par des changements économiques importants liés, les bretonnants adoptent volontairement le fran?ais,. Aujourd'hui, le breton et le gallo restent plus menacés que jamais, connaissant un recul constant (ces langues sont surtout parlées par les personnes ?gées) et ce malgré l’augmentation de l'apprentissage de ces langues à l'école. En 2009, l' a classé le breton et le gallo comme <<&#160;langue sérieusement en danger&#160;>>. Négative il y a 40 ans, l'image du breton est aujourd'hui positive. Un sondage de la fin des années 1990 révélait que 88&#160;% des bas-bretons étaient attachés à la sauvegarde du breton et 80&#160;% étaient favorable à son enseignement.
En 1966 na?t le , qui va commettre plus d'une centaine d'attentats jusqu'en avril 2000, en Bretagne ou dans le reste de la France, pour réclamer l'autonomie, sinon l'indépendance de la Bretagne, et faire reconna?tre la culture bretonne devant l'?tat fran?ais. Démantelé en , il réappara?t peu de temps après sous le nom d'Armée Révolutionnaire Bretonne. Ses attentats n'étaient pas dirigés vers la population bretonne, et ne visaient que des dég?ts matériels. L', qui causa la mort d'une jeune femme, sonna le glas de l'organisation indépendantiste.
Nationalité Bretonne
La Cour de Justice Européenne de La Haye a reconnue la Nationalité Bretonne aux 6 enfants de Jean-Jacques et Mireille Manrot-Le Goarnig, ils sont "Citoyens Européens de Nationalité Bretonne".
Article détaillé&#160;:
Seuls quelques sondages permettent d'avoir une idée du sentiment d'appartenance des Bretons. Selon un sondage réalisé en 2008, voici comment se ventilait le sentiment d'appartenance des Bretons&#160;:
Se sentent autant Breton que Fran?ais&#160;: 50&#160;%
Se sentent plus Breton que Fran?ais&#160;: 22,5&#160;%
Se sentent plus Fran?ais que Breton&#160;: 15,4&#160;%
Se sentent Fran?ais et pas Breton&#160;: 9,3&#160;%
Se sentent Breton et pas Fran?ais&#160;: 1,5&#160;%
Autre&#160;: 0,8&#160;%
Ne savent pas&#160;: 0,5&#160;%
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La Bretagne possède ses propres noms, d'origine celtique et très distinctifs du reste de la France. Quelques exemples&#160;: , , , , , , , Guivarc'h/Guivarch, Jaouen, Quilfen, , /Floch, Broc'h/Broch, /Kéméner, Treguer, Ségalen, , ,&#160;etc..
Le mouvement breton dut faire face au refus de différents gouvernements fran?ais jusqu'en dans les années 1960 de laisser les parents bretons donner des prénoms bretons à leurs enfants. Ces derniers n'étaient ainsi pas reconnus par l'?tat, n'avaient donc aucune existence légale, ce qui empêchait les familles "rebelles" de toucher les allocations familiales. La détermination d'un père de famille, Jean-Jacques Ar Goarnig, parvint à faire plier le gouverment fran?ais, .
Réplique de la
à , rappelant le départ de plusieurs de ses habitants en .
Article détaillé&#160;: .
La diaspora bretonne s'est faite tout d'abord vers les régions limitrophes, la Normandie (), l'Anjou et le Maine, puis vers
du bassin parisien, mais aussi un peu partout en
(notamment à ) ainsi qu'en . Aujourd'hui, on estime la population
d'origine bretonne à environ un million (soit près de 10% de la région parisienne), et 70&#160;000 au Havre (soit près de 40% de la ville).
la région de
devint le principal centre de l'émigration bretonne vers l'&#160;: Ils fondirent la ville Gourin City dans
au , tandis que d'autre tentèrent leur chance à , .
Article détaillé&#160;: .
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dans version actuelle
Article détaillé&#160;: .
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L' est un symbole très populaire de ce qui est breton, utilisée notamment par la région Bretagne et par plusieurs marques bretonnes. L', l'animal, représente aussi, dans une moindre mesure, la Bretagne.
le drapeau breton porte le nom de Gwenn ha Du (blanc et noir) Historiquement l'association de couleurs noir/blanc évoque toujours la Bretagne. chaque bande de couleurs représente les évêchés traditionnels de Bretagne le blanc (gwenn) représente les évêchés bretonnants (Kemper/Quimper pour (la) Bro Kerne/Cornouaille, St Pol de Leon/Kastell Paol pour le Bro Leon/Leon, Treguier/Lan Dreger pour le Bro Dreger/Tregor, Gwened/Vannes pour le Bro Gwened/pays vannetais) et le noir (du) représente les évêchés gallésants ou romans (Nantes pour le pays nantais, évidemment, Rennes pour le pays rennais, Saint malo pour le pays Malouin, Dol pour le pays Dolois et Lamballe pour le Penthièvre. Le Gwenn ha Du est aujourd'hui sur les nouvelles plaques minéralogiques de la région administrative "Bretagne".
Le triskell
Accepté petit à petit comme emblème panceltique, voire comme breton, triskel (ou ) est devenu très populaire les années 1970 en Bretagne. De la mode de porter le triskel autour du cou, imitant , ou brodé sur la manche, il s'est propagé aux marques et au tourisme bretons.
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Article détaillé&#160;: .
est aujourd'hui l'aspect le plus visible de la
bretonne. Elle s'est considérablement diversifiée et enrichie au cours de la seconde moitié du , en actualisant des thèmes traditionnels avec des sonorités d'aujourd'hui, ainsi que par apports d'instruments traditionnels écossaises ou irlandaises, comme la
écossaise ().
La danse des quatre bretonnes () par
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Article détaillé&#160;: .
La Bretonne, ic?ne bretonne peinte par Hippolyte Berteaux sur une commande de la biscuiterie nantaise
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Article détaillé&#160;: .
Article détaillé&#160;: .
? propos du
fran?ais Brit(t)on:
<<&#160;[…] Le nom (Brittons) est employé par
pour désigner l'ensemble des peuples qui habitaient l'?le de Bretagne. La forme <> est une variante du même nom [Britanni] qui est employée actuellement pour les populations celtiques d'origine insulaire qui s'installèrent en Armorique après la chute de l'Empire romain&#160;>> .
Population légale de la région Bretagne
Population légale du département de la Loire-Atlantique
Si l'on excepte les quelques bretonnants qui immigrèrent dans les grandes villes de l'ouest au XIXe&#160;siècle
(en) Amiram Gonen et Rachel Gilon (dir.), The Encyclopedia of the Peoples of the World, New York, Marwyn Samuels & Michael Zand, coll.&#160;<>,? &#160;p. (&#160; et , &#160;), p.&#160;124 Extrait: <>
Louis ?légo?t, Bretagne, une histoire, CRDP de Bretagne, septembre 1998, (&#160;), page 42, L'installation des Bretons en Armorique - Leur arrivée en Armorique. Extrait&#160;: (…) leurs coutumes et leur culture sont assez semblables&#160;; ils parlent des langues qui, à cette époque, étaient très proches l'une de l'autre&#160;: le gaulois en Armorique, le breton en Cornouailles et au pays de Galles."
, , no&#160;12, 2008, Université de Lyon
Communiqué de presse du GRIB (), 4 décembre 2005
&#160;: Le PDPE-ALE accuse la France de "linguicide" au Parlement européen
Lire à ce sujet "Loi Deixonne et langues régionales&#160;: représentation de la nature et de la fonction de leur enseignement, Langue fran?aise, B. Gardin, 1975, Numéro 25, p.&#160;29-36".
Instruction ministérielle du 12 avril 1966 (JO 3 mai 1966) relative aux principes généraux sur le choix des prénoms
Fa?ch BROUDIC, ? la recherche de la frontière&#160;: la limite linguistique entre Haute et Basse-Bretagne aux XIXe et
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UNESCO Atlas des langues en danger du monde, 2009.
, p.&#160;139
, p.&#160;26
Histoire de la Bretagne publiée sous la direction de Jean Delumeau, Privat, éditeur, 1969, p.&#160;188
Louis ?légo?t, "Bretagne, une histoire", CRDP de Bretagne, septembre 1998, (&#160;) page 185. Extrait&#160;: En 1845, un sous-préfet du Finistère donne cette consigne aux instituteurs&#160;: <> En 1897, l'inspecteur d'académie du Finistère écrit à l'intention des enseignants de l'école primaire&#160;: <<Un principe qui ne saurait jamais fléchir&#160;: pas un mot de breton en classe ni dans la cour de récréation. Il faut faire la guerre à ce <>
Louis ?légo?t, "Bretagne, une histoire", CRDP de Bretagne, septembre 1998, (&#160;), page 204, L’attrait de la culture fran?aise dans le pays bigouden à la veille de la seconde guerre mondiale.
Louis ?légo?t, "Bretagne, une histoire", CRDP de Bretagne, septembre 1998, (&#160;) page 215, Le mouvement breton
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, p.&#160;158
, p.&#160;156
, p.&#160;121
, p.&#160;45-47
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compte-rendu de l'ouvrage par Luc Capdevila paru dans le no&#160;73 2002/1 de , ,
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Geneawiki - Les noms de familles Bretons
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Langue bretonne
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Henri Sée, Ferdinand Rrunot, <<&#160;Histoire de la langue fran?aise des origines à 1900, t. VII&#160;: La propagation du fran?ais en France jusqu'à la fin de l'ancien régime&#160;>>, Annales de Bretagne, vol.&#160;37, no&#160;3,? 1925, p.&#160;429-430 () (juste présentation d'ouvrage, mais quelques indications donnée)
Fran?oise Raison-Jourde, <<&#160;L'utilisation des images dans le catéchèse catholique du XIXe&#160;siècle à Madagascar. Un réemploi de l'expérience bretonne et sa dérive&#160;>>, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol.&#160;98, no&#160;2,? 1991, p.&#160;161-171 ()
Gwennole Le Menn, <<&#160;Bilinguisme et trilinguisme en Bretagne. Les rapports entre les langues au XVIème siecle. Actes du colloque de Sommières, 14 - 17 septembre 1981&#160;>>, Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, vol.&#160;I, no&#160;15,? 1982, p.&#160;30-37 ()
G. Le Menn, <<&#160;Le breton et son enseignement&#160;>>, Langue fran?aise, vol.&#160;25, no&#160;1 L'enseignement des "langues régionales",? 1975, p.&#160;71-83 ()
Sur les migrations bretonnes&#160;:
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André Chédeville, <<&#160;L'immigration bretonne dans le royaume de France du XIe au début du XIVe&#160;siècle&#160;>>, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol.&#160;81, no&#160;2,? 1974, p.&#160;301-343 ()
Jean-Luc Marais, <<&#160;Les Bretons, les curés, les patrons. L'immigration bretonne et l'?glise à Trélazé et Angers&#160;>>, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol.&#160;96, no&#160;3,? 1989, p.&#160;323-354 ()
Catherine Fauchet, Nathalie Hugues, <<&#160;La ville noire, terre de migrations bretonnes&#160;: Trélazé, &#160;>>, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol.&#160;104, no&#160;3,? 1997, p.&#160;201-211 ()
Sur la politique&#160;:
Romain Pasquier, <<&#160;L'Union Démocratique Bretonne ou les limites de l'expression partisane autonomiste en Bretagne&#160;>>, P?le Sud, no&#160;20,? 2004, p.&#160;113-132 ()
Fran?ois Chappée, <<&#160;Une certaine idée de la Bretagne sous la République&#160;>>, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol.&#160;102, no&#160;4,? 1995, p.&#160;83-108 ()
Sur les images et représentation&#160;:
Catherine Bertho, <<&#160;L'invention de la Bretagne&#160;>>, Actes de la recherche en sciences sociales, vol.&#160;35, no&#160;35,? novembre&#160;1980, p.&#160;45-62 ()
Anne Gaugue, <<&#160;Espaces touristiques et territoires identitaires en Bretagne&#160;>>, Norois, no&#160;187,? 2000-3, p.&#160;303-316 ()
Ronan Le Coadic (préf.&#160;Michel Denis, post.&#160;Michel Wieviorka), L’identité bretonne, Rennes, Presses universitaires de Rennes,? avril&#160;&#160;p. (&#160;)
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Louis ?légo?t, Bretagne, une histoire, CRDP de Bretagne, septembre 1998, (&#160;).
Groupes ethniques d’Europe
& 50 millions
(Europe et Asie, 122 millions) ·
(de , notamment les ,
et les , mais aussi les , , , la
et les ,&#160;etc.&#160;; 89,3&#160;millions) ·
(Asie et Europe, 56,5 millions) ·
(56,4 millions) ·
(de , la , les
et les &#160;;&#160;55,0&#160;millions)
& 20 millions
(46,0 millions) ·
(en incluant les , 43,2) ·
(en incluant les
et , 31,1) ·
(en incluant les , 22,5) ·
(en incluant les , 20,7)
& 5 millions
(en incluant les , 11,6) ·
(y compris les , 9,80) ·
(en incluant les , 6,70) ·
(en incluant les , 6,40) ·
(en incluant les , 5,95) ·
(en incluant les , 5,70) ·
& 5 millions
· Bretons ·
(Adygei) ·
Christoph Pan, Beate Sibylle Pfeil, Michael Geistlinger, National Minorities In Europe, Purdue University Press, 2004 (&#160;)&#160;: <<&#160;The Peoples of Europe by Demographic Size&#160;>>, table 1, p.&#160;11f.
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