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? propos des <> de Michel de Certeau
en mode Zen
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2003/4 (Tome 91)
Pages 571 - 576
Comme il l’indique lui-même, c’est à la suite de sa lecture de l’ouvrage de Fr. Dosse sur Michel de Certeau, que le P. Maurice Jourjon nous a adressé ce témoignage personnel. Nous le publions volontiers dans le but d’apporter quelques précisions supplémentaires sur les années de jeunesse et de formation de Michel de Certeau dont le P. Maurice Jourjon fut un condisciple au Séminaire Universitaire (le S. U.) de Lyon.
Dans son Michel de Certeau, le marcheur blessé, Fran?ois Dosse consacre quelques pages à la présence de Michel de Certeau au Séminaire Universitaire de Lyon, d’octobre 1947 à juin 1950 . Cela a remué en moi bien des souvenirs puisqu’en 1947 j’entamais au S.U. ma sixième année de séminariste, ce qui me permit de faire la connaissance de Michel de Certeau.
Des notes prises au cours de cette année
me rappellent que cette année-là j’ai lu Surnaturel et Corpus mysticum de H. de Lubac, buvant ainsi aux mêmes sources que Michel de Certeau. Il a s?rement fait alors le rapprochement entre Surnaturel et l’oeuvre de Blondel qu’il avait sans doute moins travaillée que son ami Geffré ; et même s’il a pu ignorer telle page du philosophe d’Aix depuis longtemps écrite , il a comme moi entendu H. de Lubac déclarer : << Les deux apologistes du xxe siècle sont Blondel et Teilhard. >>
Avouerai-je que Corpus mysticum m’a davantage marqué que Surnaturel ? Evidemment, nous étions fiers qu’à l’origine de ce livre, il y eut la thèse d’un de nos a?nés sur Florus de Lyon. Mais surtout ce livre concernait notre pietas eucharistique quotidienne. Il ne provoquait en nous aucun affaiblissement de notre foi en la présence réelle, mais sans aucun doute une sorte de mutation, que devait m’avouer un jour Georges Jouassard
en me confiant : <> L’Eucharistie, corps du Christ qualifié de mystique puisque mystérieux et efficacement salutaire, c’est aussi son corps d’?glise dont la réalité sera à son tour qualifiée de mystique puisque mystérieuse et, par son chef, salutaire .
Au Séminaire Universitaire et à la Faculté de théologie, en 1947, Michel de Certeau a trouvé, nous dit Dosse, un grand théologien nommé Antoine Chavasse (p. 40). Cela est bien certain. Mais pour avoir suivi durant deux ans les cours de Chavasse et avoir chez lui, avec quelques autres, analysé les éditoriaux de Combat, je puis attester qu’il ne citait guère Jaspers, Husserl et Heidegger. Durant ses premières années d’enseignement, il mettait un malin plaisir à nous montrer combien étaient dépassés les <> : Bourget, Bazin, Bordeaux, et dans ses réflexions sur la conversion, celle de Claudel tenait une grande place .
Quant à Louis Richard (appelé à deux reprises René, p. 35 et 38 ), il ne s’inscrivait pas dans la lignée des travaux d’Henri de Lubac, son cadet de seize ans. Sa <>, comme il disait, était la méditation théologique de la Rédemption, mystère d’amour. Cela, il est vrai, est bien connu, et il aurait mieux valu n’en point parler que le mal présenter. Peut-être aurait-il suffi de signaler que Michel a connu un théologien qui, en 1932, a pu écrire :
Quant au supérieur du S.U., Georges Villepelet, il a, je crois, profondément compris et apprécié Michel. Responsable de la maison depuis 1945 (et non depuis 1943, p. 39) , il ne manquait pas d’un humour, un peu secret sans doute, et teinté d’ironie. Une malicieuse délicatesse lui permettait de faire avouer à M. Richard une distraction sans l’humilier, ou de donner Deo gratias lors d’un repas en raison de la déconvenue d’une équipe de football (les Verts de St-?tienne) dont il ignorait tout, sauf qu’un de ses confrères les admirait . Quant à l’autorisation qu’il accordait d’aller en ville, il ne l’a certes pas inventée, mais il aurait pu en faire l’histoire et dire que durant son supériorat ce n’était plus qu’un rite dont beaucoup se passaient. Villepelet qui savait fort bien qui était Alain, s’inspirait peu de lui, mais beaucoup plus de Laberthonnière, auquel il reconnaissait mille qualités, bien qu’il trouv?t excessif son anti-thomisme.
Sa sympathie allait à la Paroisse Universitaire où, bien s?r, il ne logeait pas Folliet (p. 39), sachant qu’il trouverait celui-ci à la Chronique Sociale. (Il savait aussi où trouver, durant l’Occupation, un nommé Emmanuel Mounier qu’il avait connu militaire ! et estimait beaucoup).
Il n’a mis personne au pas , et se figurer qu’il aurait pu le faire en nommant Michel <>, est d’une cocasserie étrange, tempérée seulement par l’auteur de cette information, le très regretté, mais peu objectif, André Mortamet (p. 39) .
Puisque Michel de Certeau au S.U. dévorait <> (p. 41), qu’a-t-il pu lire en , en dehors des ouvrages que recommandaient nos ma?tres ? Certainement La Peste de Camus, et sans doute Monsieur Ouine de Bernanos.
Lisant La Peste, nous nous demandions si Paneloux était une mixture de Panici et de Daniélou. Mais plus profondément que cette histoire de jésuites, des paroles nous atteignaient au plus profond de nous-mêmes. Un homme, parmi ceux qui voulaient aller <> nous disait : <> Et à ceux qui pas encore aidés par de Lubac , trouvaient dans Origène qu’il fallait expliquer pourquoi un enfant pouvait na?tre aveugle, le même homme lan?ait : <>
Et voici que si Camus avoue une <> à vivre dans un <> qui est <>, un romancier chrétien se demande si l’?glise elle-même n’est pas une paroisse morte. C’est comme le sous-titre de Monsieur Ouine, et c’est le thème du curé de Fenouille : <>
? tout cela, Michel de Certeau fut présent, mais n’avait-il pas un alibi ? Oui, ne vivait-il pas un ailleurs que le Séminaire et la Faculté ? ?tait-ce Fourvière, non pas la basilique, mais la Faculté SJ. ? C’est très possible. Cependant, les relations Fourvière-S.U. concernaient surtout les enseignants
(c’est seulement jeune professeur que j’ai fréquenté la bibliothèque et été invité à la grande fête du 8-décembre). Sans doute Michel de Certeau n’était-il pas le seul à rendre visite au P. de Lubac, mais nous étions plus nombreux à nous retrouver très souvent auprès de Chavasse. Aussi bien, convient-il de dire ici une chose, importante peut-être.
La faculté de théologie de la Catho tenait à ce que son corps professoral group?t, autour de prêtres diocésains, des Maristes et des Sulpiciens, des <> comme les Salésiens se nommaient eux-mêmes, des Assomptionistes et, — the last… —, des Dominicains et des Jésuites.
Les Maristes notamment étaient fort appréciés, et un Augustin George commen?ait d’être le remarquable enseignant qu’il fut. Cela pour bien faire comprendre qu’il n’y avait pas Fourvière et la Faculté de théologie de la Catho comme deux partenaires plus ou moins complices ou rivaux, mais un rayonnement théologique et pastoral de la Faculté de théologie dans le diocèse et au-delà, qui n’émanait pas de Fourvière S.J. La renommée (mondiale) de Fourvière, faculté réservée, longtemps appelée <> et officiellement <>, provenait du génial talent d’un groupe d’hommes que l’expression <> (p. 44) désigne et symbolise merveilleusement. Ce n’était pas à des cours que le <> se rendait, c’était des Jésuites influents (Varillon évidemment) qu’à juste titre il appréciait. C’est surtout cela qui fit de Fourvière S.J. la référence !
Durant dix bonnes et belles années, j’ai vécu au S.U. auprès de Georges Villepelet comme <> de la maison dont il fut seize ans durant le Supérieur. S’il me fallait résumer l’admiration affectueuse dont il entoura Michel de Certeau, je l’écouterais dire et redire : <> Il se pourrait que Michel, de son c?té, se soit demandé comment ne pas être sulpicien, si un Georges Villepelet vous dit qu’il l’est ? En tout cas, je pense que si Henri de Lubac fut l’éveilleur et le modèle et le ma?tre incontestable, à Lyon, de Michel de Certeau, Georges Villepelet fut, de lui, un formateur quasi clandestin, quelque peu jésuite bérullien, sorte de Christus absconditus dont le génie éducateur a toujours évoqué pour moi le mot de Jean Giraudoux : <>
En l’appelant si bellement Marcheur blessé, Fran?ois Dosse m’a rappelé que Michel de Certeau a entendu bien des fois Léonce de Grandmaison lui dire par la voix de Georges Villepelet :
Fr. Dosse, Michel de Certeau, le marcheur blessé, Editions La Découverte, 9bis, rue Abel-Hovelacque, Paris, 2002, p. 39-46. ? noter que le Séminaire Universitaire n’est pas rue des Maccabées, comme il est dit p. 39, mais place Abbé-Larue, après avoir eu son entrée 39 ter, rue des Farges. En 1947, il n’y a pas encore de <> ; on va lire les journaux au <>, dit aussi <>, car il est celui des <> de la maison qui, en majorité, sont Prêtres de St-Sulpice.
<< Par quel étrange contresens s’obstine-t-on à me noter de naturalisme, comme si j’avais dit que le surnaturel est exigé par nous et nécessité par notre nature ou même de notre nature, alors que tout au contraire, je déclare qu’il est nécessitant pour notre nature et exigeant en nous… >> dans Maurice Blondel et Lucien Laberthonnière, Correspondance philosophique présentée par Claude Tresmontant, Le Seuil, Paris, 1961, p. 151. La lettre est datée du 26 novembre 1901.
Ce n’est pas seulement un <> comme le fameux : <>. Comme M. de Certeau, j’ai entendu le P. de Lubac développer cela dans une conférence faite au S.U.
En 1947, Georges Jouassard est doyen de la Faculté de théologie de Lyon. Professeur de Patrologie et de Théologie patristique, il est quelque peu réticent devant l’appel aux Pères de l’?glise que fait Henri de Lubac dans ses ouvrages. Mais il <> celui-ci avec une parfaite loyauté, une tradition de soldat qui n’admet pas qu’on touche à un de ses hommes, et un profond sens de la justice abrité de discrétion et de timidité. On pourrait résumer sa réticence patrologique en ceci : lisant dans Corpus mysticum un beau texte déniché par de Lubac dans l’édition Lietzmann du Sacramentaire grégorien, il rétorque que <>
Comment ne pas avouer qu’en cette année , ayant lu Corpus mysticum je notais le témoignage de Pascal : <>. Et comme les lectures buissonnières rejoignent et confirment les lectures scolaires, c’est dans Péguy que je trouvais cela (Encore de la grippe, OEuvres en prose, I, Pléiade, p. 442-444.)
Bordeaux aurait-il évincé Barrès ? De toutes manières, Chavasse étant lui aussi savoyard, tout comme Michel, la présence de cette gloire régionale s’imposait. L’enracinement au Grand Séminaire de Chambéry d’une série de professeurs de la <> lyonnaise, notamment Chavasse, Didier, Roulier, serait à étudier. D’autre part, si Chavasse enseignait l’apologétique, son cours sur l’?glise doit absolument être mentionné. On en trouverait un écho fidèle dans L’?glise dans ses mystères (les éditions du Vitrail, 1958) et dans l’ouvrage collectif, ?glise et apostolat (Casterman, Paris 1957).
Ce <> Richard est surprenant. Il est présenté comme le ma?tre lyonnais d’un Sulpicien, professeur à Issy, le Père Calon. Or Louis (non René) Richard et Calon étaient plut?t de grands amis et de délicieux complices.
Louis Richard, Le dogme de la Rédemption, Librairie Bloud et Gay, collection Bibliothèque catholique des sciences religieuses, Paris 1932, p. 288.
Que dans cette maison il ne fasse pas bon arborer des idées d’extrême droite (p. 39) serait à nuancer. Pierre Bockel et le neveu de Darnand y furent ensemble sous l’Occupation. Et bient?ty voisineront un blondélien de droite et un blondélien de gauche. Et j’y ai connu des Pieds-noirs et des militants de l’indépendance algérienne. C’est pourquoi, j’ai toujours défini le S.U. par un mot de Georges Bernanos : <> (Le Chemin de la Croix des ?mes, ?ditions du Rocher, 1987, p. 656). Et je connais de nombreux Allemands, Coréens, Vietnamiens, Grecs orthodoxes… qui ont vécu cela.
De cette délicatesse, et à l’égard de Michel de Certeau, je puis personnellement témoigner. Eprouvant en lère année des difficultés de santé qui risquaient de le handicaper, G. Villepelet veilla sur lui avec une discrète et efficace attention.
Mais il lui arrivait de <> un coupable !
André déformait inconsciemment les renseignements qu’on lui donnait et ceux qu’il communiquait. Il lui est arrivé de me reprocher mon absence à un rassemblement de prêtres où il m’avait vu et entendu. Fran?ois Durteste, lui aussi décédé, auraient certainement plus de choses à nous dire que celles qu’il a confiées à André Mortamet (p. 40 et p. 46, note 50). Et si les renseignements fournis par d’Izarny et Paramelle sont admirables, on regrettera l’absence du témoignage de Raymond Etaix. Celui-ci, qui accompagna Michel dans la maison familiale de St-Jean-de-La-Porte lors d’un congé de Mardi-gras, m’a fait lire une lettre de 1961 où M. de Certeau évoque avec admiration Mgr Jouassard.
La Peste, lère éd., Gallimard, Paris, p. 277.
Si les deux premiers volumes consacrés à Origène par <> étaient alors en cours de parution, le grand livre du P. de Lubac, Histoire et Esprit. L’intelligence de l’?criture selon Origène, ne para?tra qu’en 1950. Mais au S.U., on disposait de l’anthologie de Prat, publiée en 1907, dans la collection <>, chez Bloud.
La Peste, op. cit., p. 251-252.
Il faut lire aujourd’hui cet étonnant sermon qui semble annonciateur et approbateur des prêtres-ouvriers que Bernanos n’apprécia guère dans les Cahiers de Monsieur Ouine, rassemblés et présentés par Daniel Pézeril (Le Seuil, Paris, 1991). Mais le texte de l’entretien (Plon, Paris, 1946) qui circulait en
n’est pas différent.
La grande amitié et l’admiration réciproque entre Villepelet et de Lubac est de cela significative. Son aboutissement fut la parole dite au réfectoire du S.U. par le Supérieur de la maison à l’adresse du professeur de la Faculté de théologie, après les ordinations du 29 juin 1950 : <>
Adorable Clio, cité dans les Textes choisis de Jean Giraudoux, présentés et réunis par René Lalou, Grasset, Paris, 1932, p. 135.
On trouvera ce texte, par ex. dans René Laurentin, Marie, Mère du Seigneur. Les beaux textes de deux millénaires, Desclée, Paris, 1984, p. 226-227.
Rappelons que le premier texte publié par Michel de Certeau, en 1956, le fut dans le bulletin ronéoté du S.U. de Lyon, sous le titre : <>. Ce texte fut repris dans les RSR dans le double numéro d’hommages qui lui fut consacré deux ans après sa mort (RSR 76/2 1988, p. 187-211. [NDLR]
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原文地址 :&最近一个合作商提出使用3DES交换数据,本来他们有现成的代码,可惜只有.net版本,我们的服务器都是Linux,而且应用都是Java。于是对照他们提供的代码改了一个Java的版本出来,主要是不熟悉3DES,折腾了一天,终于搞定。所谓3DES,就是把DES做三次,当然不是简单地DES DES DES就行了,中途有些特定的排列。这个我可不关心,呵呵,我的目的是使用它。在网上搜索了一下3DES,找到很少资料。经过朋友介绍,找到GNU Crypto和Bouncy Castle两个Java扩充包,里面应该有3DES的实现吧。从GNU Crypto入手,找到一个TripleDES的实现类,发现原来3DES还有一个名字叫DESede,在网上搜索TripleDES和DESede,呵呵,终于发现更多的资料了。Java的安全API始终那么难用,先创建一个cipher看看算法在不在吧Cipher cipher = Cipher.getInstance(&DESede&);
如果没有抛异常的话,就证明这个算法是有效的突然想看看JDK有没有内置DESede,于是撇开Crypto,直接测试,发现可以正确运行。在jce.jar里面找到相关的类,JDK内置了。于是直接用DES的代码来改&测试,最后代码变成这样SecureRandom sr = new SecureRandom();
DESedeKeySpec dks = new DESedeKeySpec(PASSWORD_CRYPT_KEY.getBytes());
SecretKeyFactory keyFactory = SecretKeyFactory.getInstance(&DESede&);
SecretKey securekey = keyFactory.generateSecret(dks);
Cipher cipher = Cipher.getInstance(&DESede&);
cipher.init(Cipher.ENCRYPT_MODE, securekey, sr);
return new String(Hex.encodeHex(cipher.doFinal(str.getBytes())));
需要留意的是,要使用DESede的Spec、Factory和Cipher才行事情还没完结,合作商给过来的除了密钥之外,还有一个IV向量。搜索了一下,发现有一个IvParameterSpec类,于是代码变成这样SecureRandom sr = new SecureRandom();
DESedeKeySpec dks = new DESedeKeySpec(PASSWORD_CRYPT_KEY.getBytes());
SecretKeyFactory keyFactory = SecretKeyFactory.getInstance(&DESede&);
SecretKey securekey = keyFactory.generateSecret(dks);
IvParameterSpec iv = new IvParameterSpec(PASSWORD_IV.getBytes());
Cipher cipher = Cipher.getInstance(&DESede&);
cipher.init(Cipher.ENCRYPT_MODE, securekey, iv, sr);
return new String(Hex.encodeHex(cipher.doFinal(str.getBytes())));
但是,运行报错了java.security.InvalidAlgorithmParameterException: ECB mode cannot use IV
ECB是什么呢?我的代码完全没有写ECB什么的又上网搜索,结果把DES的来龙去脉都搞清楚了ECB是其中一种字串分割方式,除了DES以外,其他加密方式也会使用这种分割方式的,而Java默认产生的DES算法就是用ECB方法,ECB不需要向量,当然也就不支持向量了除了ECB,DES还支持CBC、CFB、OFB,而3DES只支持ECB和CBC两种CBC支持并且必须有向量,具体算法这里就不说了。合作商给的.net代码没有声明CBC模式,似乎是.net默认的方式就是CBC的于是把模式改成CBCCipher cipher = Cipher.getInstance(&DESede/CBC/PKCS5Padding&);
成功运行了后话:搜索的过程中,找到一个不错的讨论/linux/dosc1/21/linux-197579.htm 在CBC(不光是DES算法)模式下,iv通过随机数(或伪随机)机制产生是一种比较常见的方法。iv的作用主要是用于产生密文的第一个block,以使最终生成的密文产生差异(明文相同的情况下),使密码攻击变得更为困难,除此之外iv并无其它用途。因此iv通过随机方式产生是一种十分简便、有效的途径。此外,在IPsec中采用了DES-CBC作为缺省的加密方式,其使用的iv是通讯包的时间戳。从原理上来说,这与随机数机制并无二致。看来,向量的作用其实就是salt最大的好处是,可以令到即使相同的明文,相同的密钥,能产生不同的密文例如,我们用DES方式在数据保存用户密码的时候,可以另外增加一列,把向量同时保存下来,并且每次用不同的向量。这样的好处是,即使两个用户的密码是一样的,数据库保存的密文,也会不一样,就能降低猜测的可能性另外一种用法,就是类似IPsec的做法,两部主机互传数据,保证两部机的时钟同步的前提下(可以取样到分钟或更高的单位避免偏差),用时钟的变化值作为向量,就能增加被sniffer数据的解密难度
参考知识库
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